DIVERS - Fan fiction
Bataille de Marseille
PROLOGUE
Des bruits de bataille font rage dans les rues de la ville de Marseille. Les Covenants fouillent chaque rue une par une, chaque humain trouvé se faisant torturer ou tuer sous les yeux des Marines, capturés auparavant. C'était le nouveau moyen de torture des Covenants pour que les Marines lâchent des informations. J’étais l'un d'entre eux, un Marine condamné à voir les siens se faire tuer devant lui. Je suis originaire de cette ville, j'ai été capturé en perdant une bataille prés de Notre-Dame de la Garde. J'ai vu des choses inimaginables quand j'ai été capturé, j'ai vu des Élites se rebeller et faire preuve de compassion envers moi et mes Marines. Je suis le Major Light chef d'une escouade d'ODST, je vais vous raconter mon histoire…, leur histoire.
CHAPITRE 1
CHAPITRE DEUX
Je senti l'arme se retirer une voix de femme me dit:
-Désolé Major je suis sur le nerf. Des brutes mon déjà attaqué plusieurs fois il me reste que ce Spiker... Major comment déjà?...
Je me suis retourné doucement. Ce visage fin ces lèvres charnues pulpeuses, ces yeux gris, froids et mystérieux, je connaissais cette femme... Elle ne pouvait pas voir mon visage derrière ma visière bleue.
-Major light.
Elle me regarda bizarrement, elle lâcha son arme... Elle se souvenait peut-être de moi à l'école des officiers où elle fut professeur, j'étais l'un de ces meilleurs élèves, un jour avant qu'elle soit choisie pour être pilote de chasse je l'ai invitée chez moi... Je vous passe les détails... J'avais 19 ans, elle 27...
-Votre casque levez-le...
-Bien...
Je retirais mon casque doucement, elle regarda mon visage les larmes aux yeux. Elle me regarda tendrement et tristement, elle posa ses mains sur mon visage.
-Je... On ma dit que tu étais mort...
-On ne se connaît pas madame...
Je remis immédiatement mon casque, mes sentiment pour cette femme ne devaient pas bloquer ma mission au point zéro.
-Mais...
-Je reprends ma route... Madame je...
Je me senti mal tout à coup, je suis tombé au sol. Il me semble que le choque de la brute m'ait plus sonné que je le pensait. Je me suis réveillé 30 minutes plus tard j'était presque nu, je me sentait un peu gêné, Karin m'avait soigné du mieux qu'elle le pût. Je me suis assis, elle revenue me voir.
-Ne me ment pas je t'ai reconnu... Tu as grandi depuis. Tu a bien changé, tu es devenu un robuste TCAO à ce que je voit et major aussi, où sont tes soldats ?
- Tous morts...
Je commencais à remettre mon armure, quand elle posa ses mains sur mon torse. Je suis rest froid sous les charmes de cette femme.
-Madame... Laissez-moi me rhabiller...
-Arrête de jouer les durs, je sais comment tu es...
Je les ai repoussées doucement et me suis rhabillé rapidement pour qu'elle ne me perturbe plus encore. Avant que je remette mon casque, elle m'embrassa furtivement.
-Je pars, restez là si vous le voulez mais ne me ralentissez pas, les élites m'attendent sur la colline...
-Je vais vous suivre.
A peine sortis du vaisseau, les brutes nous attendaient déjà. Une trentaine d'armes braquées sur nous...
CHAPITRE TROIS
Je me suis dit pour la dixième fois aujourd'hui, que j'allai mourir. J'ai mis une main en l'air. Une brute assez excitée de la vie s'approcha de moi et me cria un charabia incompréhensible.
-Euh... Si tu le dit mon gros...
Il me souleva par la gorge, Karin voulait m'aider mais je lui fit signe avec ma main pour pas qu'elle bouge. Il commença a serrer ma gorge. Je sentai l'air manquer. Je fermai peu a peu les yeux. Un bruit résonna dans toute la zone. Une balle de sniper venait de trouer le crâne de la brute. Je suis tombé lourdement au sol et ce cadavre de macaque me tomba dessus. Une brute, morte ou vive, ça pue vachement fort... Avant que les autres brutes ne réagissent, cinq élites sont venus les tuer, couverts pas un sniper au loin.
-Humain, désolé du retard. On vous a localisé grâce à votre radio. Les brute sont nombreuses. Nous avons pris les corps de vos soldats et les avons ramenés sur la colline.
L'élite souleva le cadavre de la brute. Le soldat humain qui tirait au sniper est venu auprès de l'élite. Il portait une armure mojlnir MARK VI de type E.V.A. portée par les Spartan-III. (Ils ne sont pas tous morts?)
-Merci, noble élite... D'où sort ce Spartan ?
Le Spartan me regarda avec son fusil dans les mains. Karin me sauta dessus une fois que je fût libre de ce macaque puant.
-Oh? Lui c'est un de nos anciens prisonniers nous ne l'avons pas tué une fois que les élites ce sont fait replacer. Nous l'avons libéré. Il nous a aidé à prendre le vaisseau amiral Rise of the Pain.
-Je vois... C'est un Spartan-III ça, non ? Où vous l'avez capturé ?
-Sur la planète que vous appelez Onix. Il était au milieu des cadavres des siens et on la ramassé.
Le Spartan resta muet, Karin pris la parole.
-Merci d'avoir sauvé mon... mhmh mon... le major.
L'élite regarda Karin.
-Humain, votre prénom et celui de votre femme je vous prie.
-Hé! Je suis pas sa femme!
-Mh...
Je me suis levé et je me suis mit au garde à vous devant cette élite qui ma sauvé la vie.
-Major Light et mon prénom est Zeus. Et le vôtre et celui du Spartan-III? Et ma femme comme tu dit c'est Karin.
-T'zar Shitzur , mais T'zar sufi les humains on du mal avec mon prénom et le Spartan nous ne connaissons pas son prénom, il est muet. On l'appelle juste sniper.
-Sniper... Ok...
Le Spartan bougea la tête pour dire oui. Karin marmonnait.
-T'zar, il me faudrait une arme. T’as quoi sur toi?
-Des carabines et trois fusils à plasma.
-Une carabine ça ira. Ce spiker, c'est une arme de gay de macaque.
T'zar me regarda bizarrement, il semblai ne pas comprendre le mot "gay".
-"Gay" ? Que veut dire ce mot Major Light ?
-Hein ? Euh... Un homme qui a couché avec d'autres hommes.
T'zar rigole.
-Gay!!! Hahaha !!
-Ouh la... OK, un phantom serait utile je crois, non ?
-Oui, je vais apeller un phantom.
T'zar appela un phantom avec sa radio.
-Il nous faut un phantom immédiatement.
-Bien reçu.
Un phantom ne tarda pas a venir. Karin était toujours collée à moi. Elle ne voulait plus me lâcher. T'zar me montra ces gros doigts en rigolant. Karin le regarda bizarrement, il s'arrêta.
-Major, il faudrait mettre une museaulière à ta femme, elle pourrait mordre.
Je me suis mit à rire et T'zar se mit à rire aussi. Cela faisait des années que je n'avait pas rit comme ça. Karin, rouge de colère tapa mon casque et alla bouder dans un coin.
-J'avait pas rit depuis des années. Je s'avait pas qu'un élite pouvait être comique.
-On apprend en étant avec des humains. Un de vos congénéres me fesait beaucoup rire et en honneur de sa mort, je l'imite en fesant rire les gens du mieux que je peut.
-Vous êtes nobles, vous les élites. Je vous est combatus tant d'années et aujourd'hui, nous sommes alliés. Une alliance puissante.
-Major j'ai toujours eu du rèspect pour les humains. J'était contre cette guerre. Le conseil ne voulait pas de vous. J'ai été l'un des premiers à vouloir vous proposer une alliance, mais un sombre secret plane sur votre race... Vous êtes les descendants directs de nos dieux...
J'était choqué par les mots de l'élite. Nous sommes descendants de leurs dieux ? Le phantom se posa. Nous sommes sortis un à un. Je devais en savoir plus sur ce sujet...
CHAPITRE QUATRE
En sortant du vaisseau, j'ai vu une scène bien rare... Des marines sympathiser avec des élites. Certains échangeaient leurs armes, d'autres essayaient de boire des alcools que les élites recrachaient. Les marines rigolaient bien. Un peu de joie dans tout ce massacre faisait du bien. Un élite de rang dévo avait pris un jeune marine sous son aile. Je les ai vus en coup de vent s'entrainés avant de passer à l'imfirmerie avec mon nouvel amie T'zar. Karin était allée au PC marines. Je dût, avec grand regret, retirer mon armure. L'imfirmière m'oscultait. Elle me regarda bizarrement.
-Major... Comment vous faites pour tenir debout avec toutes ces blésurres ? Vous avez deux côtes cassées et plusieurs bleus sur tout le corps.
-Que se passe-t-il humaine ?
-Il ne doit plus combattre pendant au moins une semaine. Avec ces côtes cassées il pourait percer ses poumons s'il gigote trop.
-Mais vous rêvez là ! Je combattrait même avec un bras dans le plâtre ! Je donnerais mon dernier souffle de vie pour tuer un ennemi. Je veux mourir en en tuant un maximum et pas me faire tuer quand je suis sans arme ici !
-Mais...
-Pas de mais, je sort !
-Les humains sont petits, mais très agressifs. Comme vous le dites, les petits chiens aboient toujour trés fort.
Je remis mon armure et T'zar me suivit, il était devenu mon nouveau coéquipier, nous sommes allés à la cantine pour manger un morceau.
-T'zar peut-tu me dire plus sur l'histoire de nos liens avec tes dieux ?
-Bien sûr major. Vous êtes tous les fils de nos dieux descendants directs de leur race. D'après l'oracle que j'ai rencontré, une geurre entre nos dieux et les parasites faisait rage. La Terre était encore vide de ces créatures et nos dieux on dû envoyer l'arche sur Terre et activer tous les anneaux à distance pour nettoyer cette vermine de la galaxie.
-Je ne connaissais pas tout ceci. J'ai juste lu un dossier sur les "Halo", c'est quoi au juste ?
-Ce sont des anneaux, des armes redoutables qui annéantissent toutes les formes de vie de la galaxie.
-µù[@|£ de W&§$&...
-Comme vous le dites et le prophéte souhaite activer tous les halos.
-Mais ils sont malades...
-Oui ! Vous savez pourquoi il veulent vous tuer?
-Non ?
-Les prophétes ont jugé que vous étiez des épreuves des dieux pour notre foi, un défi, leur descendance contre nous... De peur que vous vous vengiez de nos attaques, il on décidé de vous éradiquer. Mais nous, les élites avons ouvert les yeux.
-C'est une bonne chose. Je vais me reposer, je suis à bout de forces.
-Bon cycle de sommeil, Major !
-Merci, à demain.
Je suis allé me coucher dans un vrai lit. Enfin, c'était un matelas posé sous une tente réservée. Dans la nuit, Karin m'a rendu une visite de courtoisie, si on peut dire... Elle me réveilla lentement de ses douces mains. Quand j'ouvris les yeux, je vis son visage près du mien. Je l'embrassa doucement et ce fut une bonne nuit... Avec un... Hum, un combat de corps à corps plutôt passionant... Mmm... Je me suis réveillé avant elle. Je suis sorti. Dehors T'zar regardait la ville. Les brutes étaient calmes aujourd'hui. Elles préparaient un truc.
-Les brutes sont trop calmes, c'est pas normal. Et bonjour, T'zar.
-Oui bonjour. Elles sont calmes j'ai remarqué. Ce n'est pas normal... Elles préparent un truc. Votre femelle fait d'étranges bruits la nuit dans votre tente.
Je rougit fortement. Si je ne portait pas mon armure, il aurait vu mon visage.
-Un cauchemar, c'est rien.
-Oh, je voit.
Un marine cria avant de tirer au lance roquette sur un phantom.
-Attaque ennemie !
Les troupes non pas tardées a sauter sur les tourelles. Deux élites ont pris les commandes de deux hornets. Il filèrent combattre les dizaines de banshees et les dix phantoms. Un pélican décola équipé de lance missiles. Il tentait de combattre les phantoms soutenu par les tirs de roquettes, les tourelles, sans oublier les hornets. Mais les brutes avaient coordonné attaque au sol et aérienne. On ne tarda pas à voir cinq apparitions, dix ghosts et dix-sept choppers nous foncer dessus. Cet assaut était renfocé de grogniards, de brutes et de six hunters, les tirs fusaient de tous les côtés. Une charge de plasma fleura ma tête. Il me fallait une arme.
-T'zar ! Une arme, vite !
-Désolé, j'ai qu'une carabine !
T'zar courrait pour ce mettre à l'abri. Les marines sans arme, courraient pour en trouver, mais les tires des ennemis les réduisaient en miettes. Un marine tomba au sol décapité par le tir d'un chopper. Son lance-roquettes me fut très utile. Je détruisit un morceau de l'église de Notre-Dame, lequel fracassa deux apparitions trop proches et trois ghosts. Mes deux dernières roquettes servirent contre deux hunters. Nous étions totalement submergés. Le pilote du pélican, dans un élan d'héroïsme, fonça avec son appareil endommagé sur les chars restants. Le choc fut violent et il en détruisit plusieurs. Il en restait un debout. Les hornets pilotés par les élites repoussèrent avec brio les banshees, mais l'un d'entre eux se crascha prés du dépôt d'armes. Toutes les grenades à l'intérieur explosérent... Le choc de l'explosion me rendit presque sourd. J'entends mal les balles et les tire de plasma fusaient. Les marines qui rechargeaient se faisaient écraser par des marteaux brutes. J'étais désarmé. J'ai pris mes jambes à mon cou, couvert par les tirs de T'zar et des marines. J'ai pu prendre un BR55 et tirer sur les brutes avant de lancer une grenade à plasma trouvée au sol sur un chopper qui me fonçait dessus. Je survécut à cet affrontement et suis allé rejoindre T'zar. Mais où est Karin ?
CHAPITRE CINQ
Les derniers marines debouts tiraient en continu sur l'ennemi. Les brutes avançaient avec furreur vers nos positions. Tous leurs véhicules d'assaut étaient HS. Des brutes commencaient à rentrer derrière les murs. Un marine sans munitions frappa une brute de toutes ses forces avec son BR55. La brute faillit lui arracher la tête à mains nues, mais ce marins eu de la chance, mes balles de BR55 touchèrent leur cible. T'zar était à cours de munitions, il se battait avec une barre en fer. Une fois débarassé de son adversaire, il s'équipa d'un sabre grenade. Nous sommes vite arrivés à la dernière balle de nos armes. Les derniers élites en vie couvraient la fuite des marines en les défendant avec leurs épées, mais c'était trop tard. A la fin de ce combat, nous étions six survivants sur 600 humains et élites.
-Evaluation des pertes T'zar!
-Major ! C'est vraiment catastrofique ! Il me reste un élite. Il y a un marine en état de choc ici. Je ne voit personne d'autre. Ah si! Le Spartan-III et toujours là, dans le tas de brutes mortes.
Le marine fut aidé par l'élite. C'était le jeune soldat entraîné par l'élite dévo. Il courra vers le cadavre de l'élite qui l'avait entrainé et il le regarda. Il commenca à pleurer. Le Spartan se releva avec une tête de brute à la main.
-Laissez-le, il va s'en remettre. Où est Karin...?
Elle tremblait dans un coin de l'église. Je me demande comment elle avait fait pour se cacher si vite. C'est après une heure de recherche qu'on la retrouvée. Elle c'était précipitée dans mes bras quand on la retrouva. Maintenant nous étions totalement affaiblis. Il nous restait un marine, deux élites, Karin et moi. En fouillant un peu, on trouva deux warthogs en état. En cas de nouvelle attaque ça nous servirai pour fuir.
-T'zar il faudrait des renforts... Tu peut nous trouver ça ? J'essaye de contacter le Harès.
-Je vais voir ce que je peut faire.
Je suis allé à la radio pour tenter de joindre le Harès.
-Ici le Major Light, croiseur Harès me recevez-vous ?
-Ici le....Griccchiii....Har....és....Nous....Frouuuuuu....Avons subit des dég....
Des nacelles se craschèrent dans plusieurs endroits de la ville puis, un bruit violent résonna dans toute la ville, le sol trembla d'un cou en faisant tomber des bâtiment plus très solides. Je me suis précipité dehors. Le Harès venait de se crascher dans le vieux port.
-Oh W&§$& ! T'zar, Karin, bougez pas de là ! Garde le jeune marine ! Je vais voir ça de plus près. J'y vais en warthog. Je prend le Spartan-III avec moi.
Un pélican avait réussi à passer et se posa sur notre colline l'écoutille s'ouvra...
En entendant ce nom, je coupais la parole du capitaine.
-Capitaine! Je vous demande de me laisser, moi et mes TCAO, aller sur Marseille. Il ne faut pas laisser les vaisseaux sans aucune garde. Je connais cette ville par cœur, je suis né ici Capitaine.
Le capitaine détestait mon insubordination.
-M... Major Light, je vous accorde cette requête, à une seule condition. Revoir votre éducation et que j'aie un rapport quotidien. Je ne sais pas comment vous avez fait pour être TCAO et Major, en plus.
-Capitaine, j'ai plus de talent que vous en aurez jamais. J'ai tué plus de covenants que vous en avez tué avec votre petit vaisseau. Alors maintenant capitaine, fermez votre gueule.
Le capitaine resta bouche bée, les gens sur le pont étaient tous en train de rigoler. Le capitaine cria d'un coup.
-Vous allez finir en cour martiale !
-De toute façon vous allez mourir avent moi, les covenants vont cramer votre vaisseau.
Le capitaine était fou de rage. Il savait que s’il tentait de me frapper je lui briserai le bras pour l'en empêcher. Comme tout TCAO qui se respecte, je déteste les vaisseaux à part quand les covenants rentrent dedans. Je suis allé briefer mes soldats, à leur habitude il ne répondirent rien. Je suis rentré le premier dans le module et largué en premier. J'atterri sur un petit grognard et un élite. Dans le choc de ma chute, j'ai bien cru me fendre le crâne. En frappant de mon pied la porte de mon module, je tua un grognard un peu idiot.
-Bon sang ! J'ai bien de la chance, trois ennemis tués à l’atterrissage. Je pris mon BR55 en mains. Mes hommes non pas mit longtemps à arriver. Je regardait la ville d'un regard triste. Elle était presque entièrement détruite. Notre-Dame de la garde était encore debout. De là-bas, on peut voir la ville: c'était mon objectif.
Nous avons commencé à marcher dans la ville, les rues grouillaient de cadavres humains et de covenants. Rico, Clarence, Mohamed et Henri me suivaient sans un bruit, Rico tourna la tête vers une rue qui semblait déserte.
-Chef ! Civils repérés : une femme et un enfant.
-J'arrive Rico.
Je suis allé vers Rico et il m'indiqua les civils. Mohamed resta à l'arrière et couvre de son sniper mes arrières. Clarence resta prés de Mohamed avec son MA5C.
-Bonjour, je suis le Major Light madame.
La femme resta pétrifiée, sans dire le moindre mot. Elle tremblait avec son enfant dans les bras.
-Madame? Henri, check up médical sur ces deux personnes.
-Bien chef.
Henri examina la femme et son enfant pendant que je discutai avec Rico.
-Rico on va sûrement tomber sur...
Dans un bruit sourd un trait de lumière transperça la tête de Rico. Du sang gicla sur la femme qui cria en partant en courant. Mohamed et Clarence dirent à leur tour:
-Chef du sniper ! Importante force ennemie !
-Bon sang Mohamed, je te couvre ! Bute ces snipers !
Je regardait Rico au sol, son corps gigotait encore. La femme qui était en train de fuir se fît faucher par un ghost à toute vitesse. Elle fut littéralement coupée en deux. Henri regarda Rico, il vérifia son pouls et récupéra ses implants neuraux.
-Chef, il est mort...
-...Débarassons-nous de se ghost...!
Je suis resté encore une fois froid... Je savais ce que j'avais à faire. Je me suis planté devant le ghost. Il me fonça à vive allure dessus. Je me suis jeté au sol, il passa au-dessus de moi, il ralenti pour se retourner, mais trop tard. J'ai eu le temps de sauter et de planter mon couteau dans le crâne de la brute. Mes trois derniers soldats me regardaient avec peur. Ils dirent tous en même temps:
-Mais... Vous êtes un grand malade dans votre tête, Major!
-Fermez-la ! On avance ! Clarence, prends-moi ce ghost.
-Bien chef!
Clarence pris le ghost sans ronchonner. Je vis une voiture pas trop endommagée, un bon vieux 4x4 et je ne me suis pas gêné pour le voler. De toute façon, il sert à personne. Mohamed et Henri étaient avec moi, Henri en passager et Mohamed avait ouvert le toit panoramique pour faire joujou avec son snif. Clarence ouvra la voit avec son ghost, notre objectif était proche.
Avec ce TCAO en moins, on aurait un peu de mal à avancer. Clarence était toujours à l'avant avec son ghost. La ville était calme pour le moment... Il était 01H00, la nuit était calme, le 4x4 n'avait pas de mal à escalader les débris des bâtiments. Le ghost de Clarence nous ouvrait la route, quand tout à coup dans nos casque, la voix d’un élite sonna.
-Humain, je sais que vous m'entendez. Je suis le Dévot Drak’Maverk’z, je ne vous veux aucun mal. Moi et mes élites combattons prés d'un de vos lieux de culte sur la colline, rejoignez-nous, l'arbiter à déclenché la révolte des élites. J'ai un profond respect pour votre démon et votre race qui n'hésite pas à se jeter dans des batailles perdues d'avance.
Des bruits de bataille éclataient en fond, on pouvait distinguer des voix d'humains qui à première écoute devaient écouter les ordres des élites. Je pris une grande respiration avant de répondre. J'avais un peut de mal avec le nom élite donc je n’allais pas le dire, enfin...
-Ici le Major Light. Dévot nous arriverons sur votre position dans une vingtaine de minutes. Nous ne sommes que quatre. Il y a peu de forces ennemies dans la zo...
Avant que je finisse ma phrase Mohamed cria.
-Apparition !
Elle frappa brutalement notre véhicule qui fit des tonneaux multiples. Clarence n'eut même pas le temps de bouger avant que l'apparition l'ait réduit en purée, lui est son ghost. L'apparition tira sur le véhicule. Moi et Mohamed avons eu le temps de sortir... Mais Henri était mort dans le choc. Nous avons eu le temps de rentrer dans le réseau d'égouts. Je venais de perdre trois hommes, l'élite parlait encore.
-Humain, quel sont ces bruits ?
-Je viens de perdre deux des mes soldats nous ne sommes plus que deux. Nous sommes dans le réseau d'égouts, il nous faut des renforts.
-Je suis déjà débordé ! Vous devrez vous débrouiller seul.
-Fils de pu... Mh... J'ai perdu trois bons soldats ! C’étaient mes amis, il me faut des renforts immédiatement ! Tu comprends sale face de cul desséché ? Il me faut des renforts tout de suite !
Le dévot ne parla pas pendant deux minutes.
-Humain, je ne peux rien pour vous. Débrouillez-vous seul.
Ce fut le dernier mot de l'élite. Une plaque d'égout explosa juste derrière moi et Mohamed. La brute qui sauta en premier fut chaudement réceptionnée par une balle de sniper dans la tête. Mohamed avait de sacrés réflexes.
-Chef, de la brute !
-Je vois ça !!! Il y en a des dizaines, il nous envoient de vraid durd là !
Je tirai du mieux possible avec mon BR55. Chaque tir touchait sa cible. Les brutes étaient vraiment idiotes. Elles sautaient sans réfléchir, nos balles se fracassant sur leur crâne. Mohamed était à cours de munitions. Une brute assez maline avait fait le tour et attrapa Mohamed puis le brisa en deux comme une vulgaire brindille. Mon premier réflexe fut de tomber assit dans l'eau en tirant sur la brute. Une fois mon chargeur vide la brute était raide au sol. Je regardai mon dernier soldat à terre. Il pouvait encore parler. Je le pris doucement et je lui leva son casque. Il pleurait de douleur.
-Che...Chef... J'ai...j'a...j'ai mal...
-Chut, garde tes forces...
Je pris mon soldat mourant sur mon dos et me força de courrir pour semer les brutes. J'avais courru tellement vite sous l'adrénaline que je sema les brutes rapidement. Nous sommes arrivés à un endroit où l’égout était ouvert à l'air libre. Une chute de longsword les avait détruits. Je posai Mohamed délicatement contre un mur. Il sorti une lettre de sa poche en tremblant.
-Ch..Chef... Do...Donné... ça à mon père...
-Tu lui donneras toi même Mohamed !
-Chef... Je sais que je vais crever ici... Il m'a presque brisé la colonne vertébrale... prenez, prenez...
Il commença à saigner de la bouche et à tousser. Je pris la lettre et je regardai mon soldat une dernière fois... Une brute folle de rage me fonça dessus et m'éjecta cinq mètres plus loin. Il fonça sur Mohamed et le mit en pièces... J'entendais ses hurlements, sa chair qui se déchirait... La brute m'avait envoyé dinguer dans un tas de débris. A mon réveil il était 07H51 et j'avais atrocement mal au dos. Je me suis relevé, je vit la lettre de Mohamed au sol et la rangea où je put.
-W&§$&...
En regardant vers la où mon dernier soldat est mort, je put voir la brute en train de le déguster... Elle s'était amusée à le grignoter depuis 06H33. Je n’avais plus d'arme. Je pris une pierre assez grosse au sol. La brute était seule... Je me suis approché de lui sans faire un bruit et je lui suis défoncé le crâne à coups de pierre. Je ne me suis pas arrêté de taper pendant deux minutes en criant.
-Sale #@£@µ$ crève-là, con de ta mère!!
Je regardait la brute avec la tête aplatie au sol, je lâchait le rocher abassourdi par mon acte barbare... Comment j'ai pu faire ça ? J'ai ramassé le spiker de la brute et ses grenades avant de fouiller le longsword.
-Il y a encore quelqu'un en vie ici ? Je suis le Major Light...
Je sentis le canon froid d'un spider toucher ma nuque c'est ma fin...?
Posté le : 04/12/2008
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