Veuillez patientez...


DIVERS - Fan fiction

Seul au monde

RAPPORT UNSC:COMPLEXE DE RECHERCHES DE L'ONI

Ce texte à été retrouvé sur le corps d'un officier sur la planète TOP SECRET en TOP SECRET.


(Le papier est déchiré, le texte commence ici)

Troisième jour :

Aujourd'hui, c'est l 'anniversaire de ma fille, et je ne suis même pas là pour le lui fêter, et d'ailleurs, si la situation ne s'améliore pas, je ne serais plus là du tout ! Sa fait 3 jours ! 3 jours que moi et quelque marines qui ont survécus à l'attaque sommes coincés ici ! 3 jour que nous n'avons ni dormi ni manger ! 3 jours que les renforts doivent arriver, de toute façon, ils n'arriverons jamais, ils se moquent bien de sauver une poignée de soldats alors qu'il y a d'autres colonies plus importantes à défendre... 

Quatrième jour :

Aujourd'hui, l'un des autres marines qui était avec nous nous raconta son histoire et la raison de sa présence ici. Et moi, pourquoi je suis là ? Quand je me suis engagé, on m'avait dit que nous nous nous battrons pour « la gloire de l'humanité »... Oui, peut être, mais, ils ne m'avaient pas dit contre qui (ou plutôt quoi). C'est ce genre de « petit » détail que le haut-commandement à tendance à oublier. Si on m'avait dit qu'on se battrait contre des aliens complètements dégénérés qui veulent nous éradiquer de la galaxie, je serais parti en courant !

Cinquième jour :

Je n'en peux plus, il me reste mon magnum et une seule balle... J'ai déjà essayé de mettre fin à mes jours, mais à chaque fois je repense à ma petite maison, au sourire de ma femme, à celui de ma fille... Et je repose mon arme. Je crois d'ailleurs que c'est le seul moyen défensif qui est à notre disposition.

Sixième jour

Il y a des bruits bizarres dehors, comme des grattements, les covnants sont-ils devenus fous ? Je ne sais pas, et je me demande comment cela se fait qu'ils ne nous aient pas encore trouvé. Cette nuit, nous avons décidé de dormir, cela faisait longtemps que n'avais pas rêvé. Mais tout cela ne me dit rien qui vaille, et c'est pour ça que nous avons décidé de procéder par tours de garde. Il à fallu beaucoup de courage et de volonté à ce jeune marine pour se porter volontaire. Il était grièvement blessé aux jambes et ferait mieux de dormir, mais personne ne s'y oppose car tout le monde veut dormir.

Septième jour

Ce matin, quand je me suis réveillé, le soldat qui devait monter la garde n'était plus là. J'ai décidé de partir à sa recherche, heureusement pour cette mission, on m'avait donné les plans du complexe. Je m'aperçus que l'armurerie n'était pas loin. J'y vais ! La porte est pleine de sang et... Je croix que c'est la fin et oh non, ce complexe, il y à des (le texte est couvert de sang) dans le laboratoire et on dirait que...

OH MON DIEUX................AAAAAAAAAA !...........cervaaaaauuuuux, maaaaaangeer..

RÉCIT D'UN VÉTÉRAN DE GUERRE

Ce que je m’apprête à vous conter n'est rien d'autre qu'une simple mission que l'ONI m'avait confié, à moi, et à mes camarades ODST. Si j'avais publier ce livres à l'époque où je l'ai écrit, on m'aurait exécuté pour
trahison, alors écoutez bien.

24 heures avant largage,
vaisseau Mona Lisa ;

Le capitaine du navire, après m'avoir désigné du doigt les zones de quarantaine et les laboratoires présent sur le vaisseau (qui faisait toute sa fierté), me conduisit vers la salle de briefing. On ne nous a donné que très peu d'informations sur notre mission, si ce n'était que nous devions protéger un laboratoire semblable à celui présent sur le navire avant que les covnants ne s'en emparent et libèrent des milliards de spores de parasite et ne créent la plus grande catastrophe naturelle de notre siècle. Le parasite, toutes les études que nous avons menées sur lui n'ont pas abouties. J'avais entendu dire que
nos supérieur avaient pour ambition de nous infecter avec un virus semblable et de nous contrôler... Rein que le fait d'y penser me glaçait le sang. 

Note de l'auteur :
Mais bon, c'est le propre de
l'homme que de vouloir maîtriser et contrôler tout ce qui se trouve
entre terre et ciel (et je ne pense sincèrement pas qu'il puisse y
arriver) et ça ne changera jamais. Mais bon, je me perd dans ces
réflexions philosophiques, je ne suis qu'un simple soldat, un pion
destiné à mourir pour la cause et non à réfléchir !

Il se faisait tard et un peu de repos ne m'aurait pas fait de mal, mais il en fut autrement...

22 heures avant largage ( du
moins ce qu'on croyaient...), pont du vaisseau ;

L'alarme des procédures d'urgences s'était activée , nous dûmes moi et mes hommes nous diriger vers le pont. Un de mes gars interrogea le capitaine sur la raison de cette panique, il nous répondit gravement que les prisonniers présents sur le navire l'avaient mis à sac et détruit la zone de quarantaine ainsi que les laboratoires, les soldats qui étaient sensés défendre ces zones n'ont pu empêcher les détenus de faire le pire : ils avaient libéré le parasite ! Nous dûmes quitter le vaisseau plutôt que prévu. 

0 heure avant largage, sur
le terrain ;

Nous sommes arrivés en catastrophe sur le champ de bataille, dans un pélican qui était malheureusement en manque de carburant. L’atterrissage fut très violent. Tellement violent qu'il ne restait de l'équipe que moi et un bleu qui venait d'être affecté à notre unité. On était seuls ! Pas de contacte avec le QG, on ne savait pas si le capitaine était encore vivant et pour couronner le tout, dans la hâte, nous n'avions pas penser à prendre des munitions. En ce qui me concernait, j'avais à ma disposition un magnum chargé et un fusil d'assaut pratiquement vide. La planète sur laquelle nous nous trouvions pratiquait des activités agricoles : le lieu où c'est déroulait la bataille était donc une vaste plaine. Je ne cherchais même pas à imaginer la boucherie qu'avait dû être cette bataille, il y avait des centaines de corps inanimés et démembrés qui gisaient là, les pertes humaines étaient considérables. Notre objectif se trouvait à 600 mètres au sud. Tout était calme, trop calme... Traverser cette plaine sans doutes infestée de covnant s'avérait être une opération des plus délicates. Nous nous mîmes en route quand mon condisciple fut transpercé d'un tire de sniper covnant qui lui coûta la vie. Je me jetais instinctivement vers la carcasse d'un warthog encore enflammée quand un deuxième tire se fit entendre. Heureusement, je ne fus pas atteint, mais j'ai bêtement vidé le peu de munitions qu'il me restait sur ce tireur qui à fini par ne plus montrer de signes de vie. Encore sous le choque de la mort de mon camarade, je suis resté caché au moins deux bonnes minutes avant de pointer à nouveau le bout de mon nez. Après avoir
marché durant cinq minutes à peine, une patrouille de brutes fit son apparition. J'ai été grièvement blessé à la jambe par des tires de plasma... Le reste est flou dans ma mémoire, j'ai entendu des tires, des cris, et je me suis évanoui.

3 heures après
largage, complexe de l'ONI ;

Quand je me suis réveillé, j'étais entouré d'une poignées de marines. Ils m'apprirent qu'ils sont arrivés à temps pour me tirer des griffes de ces brutes et il m'ont ramené ici, à l’intérieur même du complexe. Cela devait grandement faciliter ma tache, mais, les brûlures plasmiques m'ont cloué au sol pendant 3 jours... Chacun s'occupait comme il pouvait, j'ai remarqué que l'un d'entre eux tenait une sorte de journal. Mais
c'était le dernier de mes soucis, ces soldats ne savaient pas que le parasite était à l'intérieur et les bruits que j'entendais semblaient indiquaient qu'il avait été libérer. Dans la soirée qui à suivie, je me suis proposé pour monter la garde cette nuit. C’était mon unique chance, et je n'ai pas manquer de la saisir ! J'ai caché aux autres qu'il me restait un magnum chargé. Et une fois qu'ils se furent tous endormis, j'ai quitté la pièce.

4 jours après largage,
complexe ;


En partant, j'avais oublier les blessures causées par les brutes, et retins un cri en me levant. Mais, ce n'est pas ça qui allait m'empêcher de m'en aller. J'ai consulté les plans de l'ONI, et, j'ai constaté que les laboratoires étaient droit devant. Il fallait que je les traverse pour activer l'autodestruction du bâtiment et rejoindre les hangars. Cela n'était pas tâche facile, au contraire. Mais c'était aussi le seul moyen de
quitter les lieux en un seul morceau. J'ouvris la porte de la zone de quarantaine et la traversa en courant jusqu'aux labos. Là, j'ai utilisé mes munitions pour nettoyer les lieux et j'ai déclenché le séquençage : il me restait 3 minutes pour rejoindre le hangar. Ce que je fis. Quand j'eus enfin atteins mon objectif, j'entendis de grands cris et compris que les marines étaient tous morts. Je scrutais la zone pour constater qu'il n'y restait qu'un hornet. Je n'ai pas réfléchi, après avoir sauté dans l’engin, j'ai mis les turbos vers le Mona Lisa : les scanners indiquaient qu'il n'y avait plus un seul signe de vie à bord. C'est finalement le Red Horse, un vaisseau de l'UNSC qui m'a accueilli. Et le capitaine du vaisseau ( un homme fort contrarié ) m'appris que le Mona Lisa était sur le point d'explosé et qu'il avait perdu une équipe à
l’intérieur. Se fut à mon tour de lui apprendre que le vaisseau appartenait à l'ONI, la libération du parasite, la mission que j'avais faite, les marines qui m'ont sauvé et tout le reste. 

Mais je ne leur en veux pas, au contraire, je ne suis qu'un soldat, un pion qui exécute les ordres. Et rien d'autre. Et, c'est en publiant ce livre que les familles des soldats et civiles morts à cause d'une mystérieuse explosion vont savoir ce qui c'est passé réellement.

Posté le : 14/02/2012


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