Veuillez patientez...


DIVERS - Fan fiction

Evacuation

Prologue : La vie de tout les jours...

Sur Reach, la nature était belle, le calme régnait en maître sur cette planète majestueuse. L'air pur était mélé à la façon dont Reach fut façonné. Des falaises abrupts dans des canyons à la chaleur étouffante, d'une petite maison perdu dans un immense champ de montagnes dont les brins d'herbes carressaient les airs, ou encore des glaciers flottants sur une mer bleu cristalline... C'est ainsi qu'était formé, en parti, notre merveilleuse planète.
Mais nous n'avions pris en compte la pollution ambiante et omniprésente dans les grandes villes métropolitaines, tels que "Nouvelle Alexandrie". Le calme et la beauté de la nature s'arretait ici, mais pourtant, l'Humain a sût contrebalancer le poids de la pollution par des espaces verts imitants à la perfection notre cher écosystème.

J'habitai seulement à deux kilomètres de la mégalopole nommé "Nouvelle Alexandrie", mais de grandes montagnes cachaient totalement la ville, seule une route abrupt et puis un tunnel creusé partiellement dans une de ces montagnes dont les lieux sont que très peu éclairés nous donnent un chemin linéaire mais dangereux, et notre véhicule n'était pas toujours un bon véhicule, car des pannes spontanées survenaient assez souvent.
Un de ces jours radieux et banaux de cette planète, nous fîmes une escapade à New Alexandrie. Nous étions passés sur le passage abrupt ainsi que dans le tunnel creusé sous le Mont Reich III, d'où son nom avait apparament été tiré d'un évenement très important sur la planète qui fût le berceau de l'Humanité, la Terre. Il parraissait que cette planète était presque aussi belle que Reach, mais d'où de nombreux évenements ainsi que la pollution et l'épuisement des minerais présents sur Terre était bientot à sec. Les climats étaient plus variés qu'ici, mais ce ne sont que des rumeurs. La planète est beaucoup trop éloigné pour y aller faire résidence ou y faire autre chose. Et puis, cela doit avoir un cout astronomique...
Un bruit infernal était perceptible dès l'entrée en ville. De nombreux klaxons s'entendaient au loin. L'Hopital ainsi que la tour Olympique était de loin les plus grandes tours de New Alexandrie.
Nous prîmes places dans un majestueux magasin, ou plutot, un hypermarché. Enfin, c'était indescriptible, le meilleur mot était "Grand Centre Commercial", qui était enfait le nom du batiment. En abréviation, GCC.
Nous montâmes les étages aussi vite que prendrait de l'altitude un véhicule aérien, puis nous partîmes manger dans un restaurant, qui se trouvait dans l'avant dernier étage de cette tour qui possédait enfaite 152 étages, un montre, mais peu fâce à la tour Olympique.
Mais une agitation différente à d'habitude, et je regardai le téléviseur en face de nous tous. Je dû me lever pour voir, car de mon âge, 13 ans, je n'étais par forcément un géant par rapport aux adultes. Tous s'étaient attardés devant la télévision, et des images qui venait d'une des stations spatiales orbitantes autour de Reach nous avaient faits part de terribles choses... Sous le choc, je ne pû me retenir de partir en courant, commençant à descendre des escaliers, de peur que les ascenseurs prennent pannes s'ils viennent, sans attendre mes parents, et ma petite-soeur, qui me couraient après, me demandant l'acte de mon geste... 
Je ne pouvais répondre... J'étais troublé.

Chapitre 1 : Une terrible nouvelle engendre toujours un malheur...

Un objet non-identifié venait droit vers notre paisible planète. Ce vaisseau n'était pas humain. C'était autre-chose. Au fond de moi, je pensai que le gouvernement mondial ainsi que les gouvernements de chaque planètes nous avaient cachés une terrible découverte, et je pensai à celle-ci, un croiseur extra-terrestre.
Des bruits perçants se produisirent dans la ville. Des Warthogs civils s'étaient percutés. Un léger incendie tua sur le coup deux personnes avoisinnantes, sans compter les chauffeurs et passagers, victimes de l'accident.
C'était la panique, tout le monde courait, ce que cherchait les gens, s'était d'évacuer la ville. Déjà nombreux véhicules prennaient la même direction, celle qui délimitait la campagne à la ville, bref, rien de plus que la route qui me menait chez moi. Mes parents ainsi que ma petite-soeur me retrouvèrent, et me demandèrent ce qu'il se passait.
Une larme tomba soudain de mon oeuil. La tristesse m'envahissait de toutes parts, non seulement pour mon avenir, mais encore plus pour celui de ma famille, dont je tenait particulièrement à mon unique soeur, qui est une des seules choses que j'ai pû obtenir dans cet endroit reculé où on habitait. Je m'inquiétai également et plus pour Chloé, une fille de mon internat à New Alexandrie, dont elle comptait le plus pour moi. C'était ma petite-amie, que j'avais depuis la jeunesse, on s'aimait, et je lui avais dit un jour qu'on ne se séparerait jamais...
Je partis en courant, en direction de l'internat, d'où elle restait également le week-end, car elle était aussi orpheline.
L'internat ne se trouvait pas loin, il ne devait être qu'a quelques centaines de mètres. Avec une voiture aurait été plus rapide, mais ces miliers de citadins voulant quitter la ville désespérément bloquaient tout accès automobile. 

Un peite cité scolaire se découvrit à mes yeux : c'était là, et je devait absolument aller la chercher. Elle ne comptait qu'à mes yeux, et personne d'autres n'aurait été la chercher. La grille était grande ouverte, pour ce week-end, le directeur ainsi que tout le personnel avait dû partir. 
Je poussai d'un coup sec la porte d'entrée de l'enceinte où se trouvait Chloé, mais étrangement, le plafond s'afaissa, et tomba quelques mètres devant moi, des flammes ardentes flamboyaient dans le batiment, et puis soudain, j'entendi le cri d'une fille, appelant de l'aide. Je sû que c'était elle. 
Je pris les escaliers, qui n'était pas prit par le feu, avançais vers la chambre de Chloé, je mis également un coup de pied dans la porte à demi-brulé, puis je la pris dans les bras, mais, sans discuter, nous sortîmes du batiment près à s'effondrer et nous regardâmes, droit dans les yeux.

Une sorte d'aimant nous émantait l'un à l'autre. Nos deux bouches se rapprochèrent, lentement, jusqu'a qu'elle ne se s'ouvre. C'est la première fois que Chloé accepta aussi rapidement que l'on s'embrasse.
Soudain, pendant ce moment fantastique, j'oubliai touts mes problèmes, qui n'était d'ailleurs pas que les miens, mais un grand vide et un courant d'air chaud provenant du batiment en flamme nous carressait la peau. 
Mais, mes parents, qui eurent le temps de me suivre, me retrouvèrent, et malheuresement, cassèrent ce moment magique. Mes parents, au courant de notre amour depuis notre enfance, et qu'ils la connaissait bien, leur demandèrent : "Que c'est-il passé à l'internat?"
Chloé, timide de nature, répondit d'une voix timide : "Le directeur, il... il fît tomber surement uns de ces cigares, quant il est parti. Moi, je... je ne savait pas qu'ils étaient partis. Je restai pétrifié devant la télévision".

Un objet étrange fit "surface", dans le ciel, un halo bleu s'ouvrit jusqu'a former un cercle bleu, me rappelant la couleur des mers de cette planète à la nature surréaliste. Moi et Chloé nous prirent mains dans les mains, regardant le magnifique spectacle, qui va surement se transformer en cauchemar pour nous...

Chapitre 2 : Nous devons évacuer...

Une surface d'un gigantesque objet de couleur bleu-mauve fit apparition au dessus de la ville. Ma petite-soeur tombait en larmes. Elle avait peur... ainsi que Chloé, se blottissant dans mes bras. Moi, je restai bouche-bée. Je n'avais jamais vu une chose pareille. Mes parents, eux, discutaient déjà du "comment va-t'on partir avec les bouchons incessants qu'il y a?". 
Le ciel s'assombrissait, une ombre d'au moins deux kilomètres de diamètre s'étendait sur toute la ville. Les citoyens étaient pétrifiés. Certains couraient dans tous les sens, sans savoir ce qu'ils faisaient, et d'autres s'enfuyaient le plus loin possible. On entendait par moment des chocs entre plusieurs voitures, des alarmes, des cris. Une ville assez paisible était devenu en l'espace de quelques heures un enfer énormément bruyant.

Un bruit strident venu du transporteur non-identifié se fit entendre. Des portes de couleur bleu s'ouvrirent et firent place à des engins de la taille d'un Falcon. Il y en avait des centaines. Tenant la main de Chloé, je ne pû m'empècher de courir vers le batiment le plus proche. Mes parents en firent de même ainsi que ma petite-soeur, ensanglotté. 
Une habitation de deux étages était devant nous, et nous courâmes jusqu'au batiment, mais un de ces engins volants tira un coup de projectile vert fluorescent sur ce dernier. Les murs de l'habitation fondurent à une vitesse inouïe, même les charpentes y passèrent. Un grand coup de frisson se baladait sur nous tous. On ne savait pas où se cacher. N'y où s'enfuir...
Un autre engin différent, plus gros, de la taille d'un Pélican apparût fâce à nous tous. Il nous regardait. Je pris les mains de Chloé et de ma petite-soeur et nous nous enfuyâmes au triple galop. Mon père me suivit juste après, mais ma mère était pétrifié. Des extraterrestres sortaient des soutes du véhicule de transport. Des créatures hideuses de différentes tailles et de différentes espèces se rapprochaient de ma mère. L'une de ces bêtes, ressemblante fortement à un singe, dégaina son arme au lâmes tranchantes et tira des salves de métal brulants sur ma mère. Un premier pic s'enfonça dans le ventre de ma mère... 
Je ne voulu voir cette scène. J'avai également du mal à respirer. Ma gorge était sérré au point que je ne pouvait plus parler. Je fermai mes yeux.

Ma petite-soeur éclata en sanglots. Elle courût vers ma mère mais mon père l'eût rattrapé à temps. Il lui cacha les yeux, ne lui dévoilant pas ce spectacle macabre.
Je me mis à genoux, la tête baissé, plusieurs larmes coulaient sur mon pantalon neuf. Je m'en rappelai de ce pantalon. Ma mère me l'avait offert pour mon anniversaire, mais il était encore un peu trop grand pour que je puisse le porter. C'était ma première journée avec ce pantalon, et je me souvient encore du premier mot que ma mère sortit ce matin : "Tu es chouette! Un vrai mec, maintenant!"
J'entendis soudain ma mère crier de douleur, nous disant de partir le plus loin possible. Mais l'on ne pût bouger. En tout cas, pas moi, je ne pouvais me relever. 
J'appela tout à coup ma mère, d'un cri perçant. Je savais pourtant que s'en était fini. 
J'ouvris les yeux, je vis ma mère se faire épingler de pics métalliques, se solidifiant sur elle même. Le sang coulait à flots, puis elle se mit à genoux. Un dernier pic se planta dans la tête de ma mère, elle cria de toute ses forces, de douleurs intenses.

Nous criâmes tous très fort. J'éclatai en sanglots, ainsi que ma petite-soeur, mon père, et Chloé. Elle se blottit contre moi, de peur. 
On était cachés dans un coin, et ces belliqueuses bestioles nous ne vîrent pas. Elle firent demi-tour. Ma vie allait s'écrouler...


Chapitre 3 : La mort d'un proche est fatale

La mort, un tunnel d'une lueur intense où notre chemin se termine. 
L'âme, un esprit dont beaucoup peuvent croire, et qui rejoint un monde parallèle et immortel, soit de simple bonheur éternel, ou soit de soufrances endurés pendant des siècles et des siècles, lui aussi, éternel. 

Ma mère venait de mourir, devant mes yeux, et pour moi, il y avait une profonde tristesse, que je ressentait par mes pleures. Elle est morte, et devant mes yeux. Une seule chose me rassurait. C'était Chloé, sa beauté radieuse, sa gentillesse et la compassion qu'elle avait pour moi. Dès qu'elle et moi nous nous regardions, j'oubliais touts mes problèmes. Sans elle, je n'aurai pas tenu le coup, et je serai surement parti à la va-vite, sans réfléchir... 

Mon père était également en larmes, ma petite-soeur était "muselé" par les mains de mon père, pour ne pas qu'elle crie de panique. Elle ne voyait rien non plus, les mains de mon père étaient assez grande pour envelloper sa tête entière. Je regardai le massacre...
Une flaque de sang et de nombreuses gouttes de sang ruisselait du corps perdu de ma mère, la route était ensanglanté et rouge vif, par lequel l'ombre du croiseur extra-terrestre rendait cette dernière encore plus lugubre. Son corps était quant à lui percé de plusieurs coups de lâmes métalliques, dont deux qui restèrent plantés dans son corps après. Le métal avait l'air d'être brulant de par sa couleur, mais en fait, c'était le sang qui envellopait la grande partie du projectile. Sa tête, contrairement au corps, était assez reconnaissable, ses traits caractéristiques étaient toujours là. Mais un projectile métallique s'était enfoncé dans la cavité cervicale de ma mère. D'ici aussi ruisselait à flots le sang, qui terminait sa courte route dans la bouche béante de ma mère.

Mon père réouvrit les yeux, et regardant le massacre, ne pût s'empêcher de lacher ma petite soeur. Ma petite soeur ouvrit ses yeux, et elle vit le spectacle macabre gisant fâce à elle. Elle devenut aussi blanche que du linge propre et soudain, cria de toute ses forces. Je courût jusqu'à elle et lui prit la tête, lui cachant ma mère. Les ennemis ont dût surement entendre le cri de ma petite soeur. Je prit ma petite soeur, l'empoigant de toutes mes forces, pour qu'elle ne puisse bouger. Chloé me suivait à la trâce, et me disait qu'il ne fallait pas rester dans ces lieux. Mon père, se relevant, nous suivirent. 

Il n'y avait plus personne dans les alentours, ils avaient surement dût être morts ou partits se réfugier très loin. En tout cas, devant nous se trouvait de nombreuses flaques de sang, des voitures renversés, plusieurs personnes ayant surement étés projetés violamment contre des murs d'immeubles.
Un silence de mort regnait dans cette rue isolé de New Alexandrie, quand tout à coup...

Posté le : 11/11/2011


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