Chapitre 1 : Alerte à la base Alpha.

10 jours avant halo 2...

Engagez vous dans l'UNSC et vous aurez une espérance de vie de quelques semaines. Si vous ne mourrez pas des la première bataille, ce sera forcément la suivante. Quand on est un simple marine, la mort nous chatouille souvent de très près, et ce n'est pas l'escouade défendant la base Alpha qui dira le contraire.
En effet, depuis quelques heures, les covenants avaient commencés à attaquer cette position. Il y avait dans cette base un certain nombre de données cruciales pour l'effort de guerre, donnée convoitées évidemment par l'ennemi.
- Sergent, encore deux hommes à terre au secteur C. Dois-je envoyer du soutien ?
- Non, répondit-il, ne bougez pas si je n'en donne pas l'ordre. Il y a autant de troupes la bas qu'ici, il peuvent s'en sortir.
- C'est à dire que nous sommes en grande infériorité numérique...
- Infériorité numérique ? On va voir cela.
À ces mots, le sergent pris un lance-roquette sur un casier et en tira deux coups vers les assaillants. Des cadavres volèrent dans tous les sens. Une fois la fumée dissipée, on ne pouvait plus voir un seul covenant.
- Alors ? Que disiez vous soldat ?
- Rien sergent. Rien du tout. Mais heu...
Trois phantoms arrivèrent et larguèrent des troupes fraîches dans la cour. Parmi elles, un général élite et deux chasseurs.
- Bordel, cria le sergent, c'est pas fini marines !!!
Le combat dura encore quelques minutes. À la fin, il ne restait que le sergent et trois soldats côté UNSC, et le général, les chasseurs, une douzaine de grognards et cinq jackals sniper côté covenant.
- On est bientôt à court de balles chef.
- On avait pas demandé des renforts sergent ?
- Et ou tu les vois tes renforts soldat, vociféra le sergent, il n'y a aucun renfort !!! Et ne crois pas qu'il vont tomber du ciel comme par miracle.
Au même moment, deux SOEIV se crashèrent sur la base, l'un sur le toit, l'autre dans la cour. 
- Oubliez ce que j'ai dit marines !!!!
La capsule du toit s'ouvrit et un asco en sortit. Il était armé d'un fusil de sniper et d'un magnum M6S sidearm. Sa visière verte brillait au soleil. Il s'appelait Killian.L . Hopmanns, mais il préférait qu'on l'appelle par ses initiales : Klh.
Puis ce fut la capsule de la cour qui s'ouvrit. L'asco qui en sortit avait une belle visière rouge, une mitraillette M7S et un Laser Spartan. Son nom était Michael Stiturno. Dérangé par ce même nom, il s'inventa le nom de code Striker.
Klh et Striker formait une équipe de deux depuis maintenant six ans. Ils étaient réputés pour être braves, fort et mortels. Aucunes de leur mission n'avait jamais échouée, si difficile furent elles.