Veuillez patientez...


DIVERS - Fan fiction

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Les bruits disparaissent. Tout semble s'arreter autour d'elle. Au loin un regard afflige son âme. Une larme du passé enlace son visage. A jamais elle a perdu ses espoirs. A moitié dénudé, le vent geler la caresse. Mais elle ne sent rien. Eraflé par le temps, son corps brulé semble figer face à cette vérité. Seul et briser, la mer partage son chagrin, emmenant en son sein ceux qu'elle a aimé. Emporter par le vent sa peine disparait dans des murmures éteints.
Sur la plage, échoué, l'unique lien de son passé attend comme elle son ancienne propriétaire. Usée et abandonnée, une peluche absorbe le flot de vie qui couvre le sable de son éclat d'émeraude brulante.
Rien ne semble expliquer cette vie écourté.Le sifflement d'une lame fait ressurgir un souvenir.

-Jeanne arrete avec cette peluche.
-Non, Maman et papa aurait voulu que je la garde.
-Mais ils sont morts, tout le monde est mort. 
-Pas nous. Pas notre espoir. La vie continu et notre devoir aussi. C'est à nous de reconstruire et de survirve. 
-Reconstruire quoi ?! Regarde autour de toi !

La jadis ville d'Anatolia ou marchait les deux jeunes filles n'était plus que l'ombre de ce qu'elle avait été. Par endroits subsistait encore quelques morceaux de verdure, dans d'autre s'ammoncelait ruines, gravats, et cadavres. Le corps brulé par du plasma des gens fuyait tenant parfois des proches, des amis, de la famille, des enfants décédé...Une femme se blotissait dans un coin avec les corps de sa famille, ou pour du moins ce qu'il en restait. Pas une seconde ne passait sans qu'une explosion ne retentisse, sans qu'une vie ne soit arracher.
Jeanne s'effondra au sol, une larme lui était venu face à cette dure réalité. 

-Lève toi petite soeur, on s'en va... murmura avec gravité Arkia. Je vois une voiture on va la prendre.

Un véhicule cabossé les attendait parmi les ruines d'une école d'ou certains n'avaient peu s'échapper. La voiture teinte par les flammes des explosions de plasma démarra avec difficulté son moteur. Jeanne, elle, préfairait s'isoler du monde, imaginer que ce qu'elle vivait nétait qu'un cauchemar, qu'au réveille sa mère viendrait lé réconforter, que son père lui sortirait une de ces vieilles blagues avec un sourire en coin, comme:" Alors toujours peur du monstre sous ton lit?" Mais sa n'arriverait pas, face à elle déambulait les survivants d'un génocide, que demain si elle survit elle verra d'autre innocents mourrir devant ces yeux, que la guerre n'est pas un conte de fée comme lui enseignait son petit robot "red sparx".

-Le voyage sera long, tu ferais mieux de dormir. Invita Arkia à faire.

Dans l'esprit d'Arkia, c'était le chaos, que faire, ou aller, des questions qui lui martelait le cerveau et qui ne semblait pas donner de réponse à sa peur. Le visage de ces parents, elle le voyait toujours. De la crainte au fond des yeux, du désespoir, puis leur corps après l'explosion. Elle en avait des nausées, démembré et calcinée l'odeur de ces parents semblait l'avoir imprègner, la cotoyer.
Derrière le vehicule la ville disparaissait, mais la fumée qui s'en émanait persistait encore haut dans le ciel, dans le crépuscule qui se dévoilait.
Elle n'entendit guère ce qui arrivait au loin, elle ne le vit pas non plus.
Au loin une vive lumière approche, en son sein la mort s'extase, car de nouveau elle va pouvoir sévir, de nouveau elle va caresser bon nombre de vies de sa mortelle caresse. Une brise se lève, des Montagnes gelé de Reach au loin ont peut voir un feu d'artifice qui a éclot. Sur place, des cris, des jaspes de sang qui volent, les crissement de corps qui brulent, ceux des pneus du véhicule qui ont crevé. Les flammes bleu de l'explosion tourne, et fleurte avec le ciel. Le bruit d'un accident survient, le fracas du métal se lie avec l'écho de la mer qui est proche. Le roulis des vagues dorée reprend son cours, sa douce mélodie ignore la brusque éffusion qui vient de se dérouler sous ces yeux. Arkia le visage en sangs, sors du véhicule, elle est à genou, érraflé de toute part elle se crispe de douleur à chaque effort. Dans son esprit la confusion a pris place, devant elle sourit une peluche, entouré de sang elle admire la ciel. Un regard à droite, une hésitation pour regarder de l'autre coté, une larme, le visage d'une enfant blonde entrelacé par les flammes attend. 
Un corps s'effondre à genoux, des pleures en sortent.

Les bruits disparaissent. Tout semble s'arreter autour d'elle. Au loin un regard afflige son âme. Une larme du passé enlace son visage. A jamais elle a perdu ses espoirs. A moitié dénudé, le vent geler la caresse. Mais elle ne sent rien. Eraflé par le temps, son corps brulé semble figer face à cette vérité. Seul et briser, la mer partage son chagrin, emmenant en son sein ceux qu'elle a aimé. Emporter par le vent sa peine disparait dans des murmures éteints.
Sur la plage, échoué, l'unique lien de son passé attend comme elle son ancienne propriétaire. Usée et abandonnée, une peluche absorbe le flot de vie qui couvre le sable de son éclat d'émeraude brulante. Plus rien ne remplit le silence qui c'est instauré, plus rien sauf le roulis des vagues, plus rien sauf le sifflement d'une lame...

Posté le : 17/06/2012


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